Chaque semaine, le RC Grasse vous fait partir à la rencontre de ses fidèles partenaires, toujours plus nombreux au fils des années. Zoom aujourd’hui sur une entreprise mythique de Grasse, les Briconautes, avec son directeur commercial, Florent Bertrand.
« Nous sommes une entreprise qui a grandi avec la ville de Grasse. C’est donc tout naturellement que nous aidons les associations grassoises, et bien évidemment le RC Grasse, sourit Florent Bertrand, directeur commercial du magasin Les Briconautes, commerce familial estampillé 100% Grasse. Nous sommes partenaires du RC Grasse depuis toujours. Et cela n’est pas prêt de s’arrêter. »
Florent, qu’est-ce que représente le RC Grasse pour vous ?
Une histoire. Mais surtout de beaux souvenirs. J’ai moi-même été joueur pendant quelques années, à l’époque de Pedro Lara, en jeunes puis en seniors. J’ai connu le Racing à Jean-Girard, quand l’équipe jouait déjà en quatrième division. À l’époque, le RC Grasse était déjà passé tout proche de la montée en troisième division.
La passion entre vous et le Racing ne s’est jamais éteinte ?
Au contraire. Je me rends encore souvent à la Paoute pour assister aux matchs de l’équipe première. On voit qu’il y a un dynamisme autour du club depuis quelques années. Le club se professionnalise. Nous avons la chance d’assister à de très beaux matchs, à un niveau que le RC Grasse n’avait jamais atteint. Le niveau en quatrième division est aujourd’hui bien plus élevé qu’à l’époque.
Comment expliquez-vous la longévité exceptionnelle de la relation entre le Racing et Les Briconautes ?
Nous avons un partenariat qui sort de l’image. Un partenariat de vocation, amical, avec François Roustan, qui a été le président du Racing pendant de nombreuses années et désormais avec Jean-Philippe Cheton, que je connais personnellement depuis très longtemps. Notre entente dépasse le simple cadre du sponsoring. Si le Racing changeait de division, nous serions évidemment toujours présents. Nous renvoyons la balle à cette belle association, de plus de 500 licenciés, et dont les parents se rendent souvent dans nos magasins. C’est un juste retour des choses.
